Vous l’avez peut-être manqué en 2024

L’année 2024 a été marquée par une succession d’évènements plus qu’alarmants, rappelant l’urgence de mesures pour assurer votre sécurité alimentaire et protéger nos ressources naturelles. Voici un résumé des faits que vous avez peut-être manqués.

Évènements marquants de l’année 2024, soulignant l’urgence d’agir

Un début d’année rythmé par des blocages

En janvier, le monde agricole est de nouveau secoué par de nombreux mouvements de grèves en Europe. Les conditions de vie, les réglementations contradictoires et la concurrence déloyale de l’étranger, semblent rendre insoluble ce qu’on appelle désormais par habitude la crise des agriculteurs.

Alors que le monde rural ne demande qu’à répondre aux enjeux de souveraineté alimentaire qui nous préoccupent, alors que des réponses sont déjà à portée de main, alors que les phénomènes climatiques nous rappellent tous les jours l’urgence de la situation, une mobilisation collective pourrait-elle enfin voir le jour en 2025 ?

2024, l’année de tous les records

Il a fait chaud…

L’année 2024 a été marquée par des vagues de chaleur extrême qui ont battu de nouveaux records de température à travers le monde :

… et il a plu !

Après des vagues de chaleur écrasantes, des pluies diluviennes ont déferlé notamment sur l’Europe.

  • 242 000 évacuations en Chine suite au débordement du fleuve bleu affectant plus de 991 000 habitants.
  • Tempête Boris, survenue en septembre 2024 : au moins 22 morts
  • Un mois après l’Espagne : les inondations qui ont touché la région de Valence ont causé plus de 210 victimes faisant de cette catastrophe la plus meurtrière de l’Espagne au 21ème siècle.

Conséquence : des pertes colossales

Nous savons aujourd’hui que le réchauffement climatique a augmenté le volume des précipitations. Le bilan est lourd, des milliers de personnes ont été évacuées et les dégâts matériels sont estimés à plusieurs milliards d’euros. L’artificialisation des sols et l’urbanisation renforcent l’apparition de ces phénomènes météorologiques.

Les températures extrêmes ont entraîné des répercussions dramatiques sur la santé publique, l’environnement et les infrastructures, exacerbant les risques de feux de forêt et augmentant la pression sur les systèmes de santé. De nombreuses alertes rouges ont été déclenché dans des pays à forte population sénior, rendant encore plus urgent de prendre des mesures immédiates pour se protéger face aux risques accrus.

Et les solutions dans tout ça ?

  • Le bilan mitigé de la COP 29, novembre 2024 à Bakou : bien que des avancées aient été saluées sur le soutien aux pays en développement pour faire face aux défis climatiques (300 milliards de dollars par an d’ici 2035 contre plusieurs billions attendus), les discussions n’ont abouti à aucune décision. La balle est renvoyée à la COP 30 qui aura lieu au Brésil en 2025.
  • Février 2024 : recommandation de la Commission Européenne visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2040 pour atteindre la neutralité climatique en 2050.
  • Le plan Ecophyto mis en pause en France : un assouplissement pour les agriculteurs mais une interrogation pour la biodiversité et l’utilisation de ces produits nocifs pour la santé et l’environnement.

Malgré des intentions affichées et des objectifs ambitieux, les décisions concrètes peinent à émerger. Pendant ce temps, les conséquences se font déjà ressentir : des études ont révélé la présence de fongicide fosétyl dans l’eau du fleuve Charente, principale source d’eau potable de La Rochelle. Des analyses ont détecté des pesticides interdits dans l’organisme d’enfants vivant à proximité, une région où les cancers pédiatriques sont en augmentation.

Tandis que les discussions internationales s’enlisent et que des mesures essentielles sont reportées ou mises en pause, ces signaux alarmants illustrent l’impact d’une inaction persistante.

L’année se termine comme elle a commencé

Malgré les revendications exprimées par les agriculteurs depuis des années en faveur de mesures plus protectionnistes à leur égard, l’Union Européenne conclut le 06 décembre 2024 un accord de libre-échange avec le Mercosur, élargissant davantage le spectre de la concurrence à laquelle ils doivent faire face.

La serre Myfood, l’une des solutions pour contrer ces évènements alarmants dans l’urgence.

La serre est la solution pour 2025

L’accumulation et le chevauchement des différents phénomènes, qu’ils soient climatiques, économiques ou sociétaux, met en lumière la difficulté pour les sociétés humaines d’être plus résilientes mais surtout l’urgence d’éviter la reproduction de ces évènements.

Et si la solution venait d’en bas ?

Il est temps de reprendre le contrôle de notre mode de vie.

La serre Myfood est bien plus qu’un outil de jardinage. C’est une assurance pour :

  • Prendre soin de sa santé : faites pousser vos légumes toute l’année, quelles que soient vos connaissances.
  • Sécuriser son alimentation : quelles que soient les conditions climatiques.
  • Devenir plus résilient : réduisez votre dépendance aux systèmes de production et de distribution vulnérables

2024 a été une année de révélations. Ne laissez pas 2025 être une année d’impuissance. Investissez dans une serre et devenez acteur de votre avenir alimentaire. Il n’est jamais trop tard pour agir.